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 Drogues et hallucinogènes : Côté positif ?

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dubuisson

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MessageSujet: Drogues et hallucinogènes : Côté positif ?   Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Icon_minitimeVen 26 Aoû - 17:05

Drogues ancestrales et hallucinogènes,
Côté positif ?


Pourquoi je bois ?
Pour pouvoir écrire de la poésie.
Parfois lorsque tout est diffus
Et que toute laideur s'efface
En un profond sommeil,
Il y a un éveil
Et tout ce qui demeure est vrai.
Tandis que le coeur est ravagé
L'esprit se fortifie.
Pardonne-moi mon père car je sais
Ce que je fais.
Je veux entendre le dernier poème
Du dernier poète
-Jim Morrison-



Quand je pris de l'ayahuasca mes visions devinrent plus claires; j'étais accepté par les esprits. Ils ont commencé à nettoyer la partie spirituelle, puis la partie psychologique, puis tout mon corps, parce qu'il était contaminé par le monde matériel. Après ils m'ont indiqué la direction à prendre. Ils m'ont remis un vêtement spirituel et tout les attributs nécessaires.
-Shipibos (Amazonie)-


L'effet du peyotl est très puissant. Lorsque la vision change, le monde entier change. On voit et on comprend des choses qu'il serait impossible de percevoir sans son effet hallucinogène.
-Carlos Castaneda-


Les décoctions de tabac augmentent vos perceptions, pour le moins avec ce type particulier de tabac frais. C'est très puissant. Vous en prenez pour nourrir vos esprits alliés, qui adorent le tabac. C'est également utilisé pour augmenter la vigilance, de manière que, s'il y a un sorcier qui est en train de travailler contre vous, vos esprits alliés seront en état d'alerte et vous protègeront. Les Jivaros étaient beaucoup impliqués dans des inimités et des guerres contrairement aux Conibos.
-Michael Harner- (anthropologue)


Parmi les peuples samoyèdes, l'un des groupes sibériens les plus occidentaux, pas très loin des Sâmes de Scandinavie, à la fois chamans et les non-chamans mangeaient ou brûlaient des champignons (amanita muscaria) séchés afin de facilité le changement de conscience dans un but spirituel.
-Michael Harner-


Les Berserkers, de violents guerriers norses (vikings) étaient probablement possédés par la puissance du champignon, de la même manière qu'aujourd'hui encore les non-chamans sibériens, lorsqu'ils désirent avoir une force et une endurance physique extraordinaires.
-Michael Harner-


Le chaman se fait insuffler plusieurs doses de drogue au moyen d'un tube creux...Ses yeux s'emplissent de larmes...Ses lèvres vibrent et lancent des appels aux esprits de la forêt qui sont ces auxiliaires dans la lutte contre les maladies. Le chaman cesse d'être un homme ordinaire. Il devient lui même un esprit de la forêt. Il chante et danse devant le malade. C'est la voie des esprits qu'il trace ainsi.
Yanomamis (Amazonie)


sympathie sunny

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MessageSujet: drogues et hallucinogènes.   Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Icon_minitimeSam 27 Aoû - 5:09

Bonjour Dubuisson.


Vous nous avez exposé le coté positif de certaines drogues ancéstrales. Mais, le côté négatif ?

Pour moi qui ai séjourné en Inde, j'avais remarqué que des vieux sages (bien qu'il faille allez les trouver dans la jungle ou montagnes) pouvez-vous me dire qu'elle sorte de drogue c'était, car ils avaient les dents rouges.

jusqu'à présent, puisque personne ne me l'avait expliqué. Savez-vous qu'elle drogue c'est ?.

Sourire
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dubuisson

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MessageSujet: les drogues   Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Icon_minitimeSam 27 Aoû - 8:27

Bonjour Sourire

Nous avons tout deux discuté du côté négatif des drogues, dans notre pays, sur deux postes de ce chapitre (alcool, drogue). J'ai voulu ,dans mon message précédent montrer que tout n'était pas complétement négatif dans l'usage des stupéfiants, surtout dans les traditions des populations dites primitives.

L'alcool, le tabac, ou même le café en excés donnent parfois des résultats "stupéfiants". Il n'est que de voir ce qu'ont pu produire Toulouse-Lautrec, Gainsbourg ou Balzac. Beaucoup d'artistes ont utilisé des drogues pour affûter leur inspiration, et l'image du peintre-maudit est devenue une caricature sur la base d'une réalité (Utrillo, Modigliani...) l'absinthe, cette "fée verte" faisait des ravages avant d'être interdite.

Quant aux vieux sages indous dont vous parlez, je suis désolé je n'ai pas de réponse. Peut-être devriez-vous regardez dans les messages laissés par Jelt à ce propos (mais je ne sais plus dans quel chapitre), il me semble avoir vu cela quelque part.

Passez une bonne journée.

sympathie sunny

dubuisson
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MessageSujet: drogues et hallucinogènes.   Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Icon_minitimeSam 27 Aoû - 8:59

Rebonjour Dubuisson.

C'est vrai, nous en avions parlé.(excusez-moi) Mais, là où je voulais en venir c'était évidemment nos peintres précurseurs et impressionnistes qui se noyaient dans l'absinthe, et pourtant pour ma part, ils ont réalisé des chefs-d'oeuvres. J'ai voué un culte personnel à Vang Gogh, et bien sûr d'autres.

Dans ma pièce principale, je remarque que j'ai acheté une tenture indienne peinte évidemment sur tissu où il n'y a que des tournesols.

C'est curieux, que je ne m'en rende compte qu'aujourd'hui. (cela fait cinq ou six ans que je l'ai).

Aucun rapport bien sûr avec le sujet... mais...

Je pense comme vous, que Jelt saura nous dire qu'elles drogues les vieux sages-indiens utilisent, et pour quel usage.

Bien à vous toutes et tous.

Sourire.



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jelt

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MessageSujet: L'homme spiritualise l'essence végétale   Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Icon_minitimeDim 28 Aoû - 10:57

Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Chaman13

L'homme spiritualise l'essence végétale


Bonjour,
C’est gentil de me demander mon avis sourire …
"Il était une fois des vieux sages indiens qui … " fumé du tabac !
Eh, oui ! le tabac est certainement la première drogue que l’organisme humain à ingérer de manière volontaire dans son organisme, je ne parlerais pas des plantes et autres fruits que l’homme a essayés vainement d’intégrer a son alimentation tel que glands de chênes, orties, champignons venimeux, etc.

La nature a fourni pendant longtemps des substances dites « drogue » aux chamans, sorciers, prêtres et guérisseurs de toutes civilisations. Aujourd’hui, les laboratoires ont réussi a recopier, transformer et créés de nouvelles molécules d’ADN afin de mettre en place de nouvelles substances chimique aux effets dévastateurs !

Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Plant_10
Salvia divinorum

A l'origine la salvia ne poussait que dans les montagnes de Sierra Madre à Oaxaca, au Mexique, où les chamans Mazatec utilisaient cette plante dans leurs rituels sacrés. Pour entrer dans l’état de conscience visionnaire ils recueillaient les feuilles de cette plante et les mâchait pendant environ 30 minutes. Cela se pratique encore aujourd'hui, au Mexique ainsi que dans le monde entier.

Salvia divinorum est connue par la plupart des gens comme une herbe fumable, mais cela est en fait une pratique assez récente. La différence avec la mastication est que l'effet est immédiat, après une demi-minute environ, et beaucoup plus intense et beaucoup plus court, c’est à dire 10 minutes au lieu d’une ou deux heures. L’extrait de Salvia est connue de générer un état hallucinatoire immense et très riche qui pourraient fournir une expérience ‘sombre’ ainsi qu’une expérience d'apprentissage illuminées. Même avec l'utilisation traditionnelle de mâcher les feuilles, il est commun d'avoir un ou deux guides sobres qui prennent soin de celui ayant l'expérience.

Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Hashis10

Vingt-sept siècles avant J.-C., les Chinois cultivaient le chanvre pour sa fibre et ses propriétés médicinales. Trois mille sept cents ans plus tard, (soit vers l’an mil de notre ère), les Chinois appellent le chanvre ta-ma ou "grand chanvre" pour le distinguer des autres plantes à fibre, groupées sous le terme générique de ma. Le pictogramme du véritable chanvre est un homme de grande taille, ce qui souligne la forte relation entre le cannabis et l’homme.
Au cours des invasions de l’Europe par les tribus aryennes (entre 2300 et 1000 ans avant J.-C), ces nomades introduisirent le cannabis et ses différents usages partout où ils passèrent. A ces époques, on en faisait usage dans l’alimentation, les textiles et les huiles. De plus, la drogue qu’on en tirait constituait un lien rituel avec les dieux.

Les scythes, et par la suite, de par cet exemple, les Thraces et d’autres peuplades, vers le 6ème siècle avant J.-C., l’utilisèrent aussi en inhalation lors de leurs rîtes funéraires. Pendant des siècles, l’ "herbe sacrée" était réservée aux prêtres et aux chamans, les autres utilisateurs des propriétés exceptionnelles du cannabis étant alors considérés (par les prêtres évidemment) comme des sorciers ou des hors-la-loi, et étaient souvent condamnés à mort.

Le chanvre a entretenu une relation curieuse avec les systèmes juridiques des différentes civilisations. Sa culture a été tout à tour illégale ou au contraire obligatoire. Dans de nombreuses tribus africaines, la punition la plus grave pour un crime de sang, consistait à obliger le criminel à fumer sans interruption des quantités massives de dagga (cannabis) pendant des heures, enfermé dans une petite hutte sans ouverture, jusqu’à ce qu’il perde connaissance. Les Africains rapportent que le taux de récidive après ce traitement était pratiquement nul. La loi a été appliquée de manière violente en Europe et en Amérique, lorsque les bourreaux passaient au cou des criminels la trop fameuse "cravate de chanvre".

Dans nombre de religions, le cannabis a représenté des aspects fondamentaux comme dans :

Le shintoïsme : on y utilisait le cannabis pour lier les couples mariés et chasser les mauvais esprits. Il passait pour être une source de joie et de bonheur dans le mariage.

L’hindouisme : le dieu Shiva passe pour avoir "ramené le cannabis de l’Himalaya pour la joie et l’illumination des hommes". Les prêtres "sâdhu" parcourent l’Inde et le monde en partageant le "chilom", une pipe remplie de cannabis, auquel ils mélangent parfois d’autres substances. Dans la Bhagavad-gita, Krishna déclare : "Je suis l’herbe qui guérît" (9/16), tandis que le cinquième chant de la Bhagarat-purana décrit le haschish en termes explicitement sexuels.



Le bouddhisme (Tibet, Inde et Chine) : à partir du 5ème siècle avant J.-C., les bouddhistes ont pratiqué un usage rituel du cannabis ; les rites d’initiation et les expériences mystiques s’appuyant sur le cannabis sont monnaie courante dans beaucoup de sectes bouddhistes chinoises. D’après une ancienne tradition bouddhique, Siddhârta lui-même (le futur Bouddha) n’aurait rien consommé sinon du chanvre et des graines de cannabis pendant les six années qui ont précédé son illumination et la révélation de sa mission.

Les zoroastriens ou mages (Perse, entre le 8ème et le 3ème siècle avant J.-C.) : Ils seraient à l’origine de l’histoire des Rois Mages venus célébrer la naissance du Christ, cela d’après de nombreux spécialistes du christianisme. La religion zoroastrienne se fondait (au moins superficiellement) sur la plante de chanvre prise dans son intégralité ; elle intervenait comme sacrement principal dans la classe des prêtres et constituait leur première ressource en plante médicinale, ils l’utilisaient en obstétrique, avec de l’encens pour les rituels, comme huile sainte, mais aussi comme huile à brûler dans les lampes du monde séculier. On pense que le terme "magie" vient du terme zoroastrien "magie".

Les esséniens : ils utilisaient le chanvre pour ses propriétés médicinales, tout comme les " thérapeutes " égyptiens.
Certains érudits pensent que les uns comme les autres étaient, sinon des disciples, du moins des proches des prêtres/médecins zoroastriens.
Les soufis : ils sont des mystiques musulmans qui ont utilisé le cannabis et en ont venté les vertus pour ses révélations divines, sa capacité à faire fusionner le croyant avec le divin, pendant au moins mille ans. Pour beaucoup de spécialistes, le mysticisme des prêtres soufis est en réalité celui des zoroastriens qui aurait survécu aux conquêtes de l’Islam des 7ème et 8ème siècles et aux conversions (plus ou moins forcées) qui s’en sont suivies.
Certains coptes chrétiens d’Egypte et d’Ethiopie : ils croient que "l’herbe verte sacré des champs", ainsi que les "encens suaves" et les "encens et huiles sacrés" mentionnés dans la Bible ne seraient autres que le cannabis.

Les bantous : ils procédaient à un culte secret du "dagga" (cannabis), réservé aux chefs ; les Pygmées, les Zoulous et d’autres considéraient le cannabis comme une médication indispensable pour les crampes, l’épilepsie et la goutte, et en avaient fait un sacrement religieux
Les rastafaris (de la Jamaïque et d’ailleurs) : Ils sont une secte religieuse contemporaine qui se sert de la "ganga" comme moyen sacré d’entrer en communion avec Dieu (Jah).

Les judaïsmes : on constate que l’usage du cannabis, pourtant connu à cette époque et dans cette région, n’était ni interdit, ni même découragé dans la Bible. Certains passages y font une allusion directe à ses bienfaits et en prédisent même l’interdiction.

Les premiers chrétiens : les premières sectes chrétiennes étaient composées d’individus en général ouverts, doux, aimants, qu’elles étaient tolérantes et peu structurées. Rome considérait le christianisme simplement comme un autre culte oriental de mystères, à l’instar du culte de Mitra ou de celui d’Isis, alors les plus répandus dans l’Empire romain. Miné par des guerres ruineuses et la corruption politique, l’Empire romain était dans un état catastrophique. Dès l’an 249 de notre ère, les empereurs qui se succédèrent entreprirent de sanglantes persécutions, notamment envers les turbulents chrétiens. Cinquante ans, la méthode n’ayant pas été efficace, l’Empereur Constantin fit cesser les persécutions et se convertit lui-même au christianisme. En combinant la force de l’Etat et la force de l’Eglise, chacun était en mesure de multiplier son pouvoir et de dénoncer plus facilement les crimes (ou péchés) de ses ennemis ou rivaux politiques (ou religieux) en bénéficiant de l’appui total de l’autre.

Constantin fit du christianisme la religion officielle obligatoire et monothéiste de l’Empire : l’Eglise catholique et romaine, autrement dit l’Eglise Romaine universelle. Dans la foulée, il fit mettre hors la loi toutes les sociétés secrètes qui auraient pu menacer son mandat. A compter des 4ème et 5ème siècles, les religions païennes et les autres sectes chrétiennes furent soit incorporées à l’Eglise orthodoxe, soit interdites et chassées de la doctrine officielle comme de la hiérarchie et certains sont devenus clandestins, ce qu’ils resteront pendant tout le Haut Moyen Age. Au 10ème siècle, tous les peuples d’Europe se virent forcer d’y adhérer. Les responsables politiques aidèrent l’Eglise et décrétèrent des lois assorties de châtiments extrêmes pour la moindre infraction, le moindre soupçon d’hérésie, les hérétiques étaient pourchassés par des inquisiteurs impitoyables, fanatiques et sadiques. La damnation était de plus le lot de tous les excommuniés.

Avec l’interdiction à 95% de la population de l’accès à la lecture et à l’écriture (et donc encore moins au Latin, alors la langue de la Bible), les prêtres ont pu interpréter à leur manière les Ecritures, et cela pendant environ douze siècles en Europe. Tout en faisant du vin un sacrement, et en tolérant les autres produits alcoolisés comme la bière, l’Inquisition interdisait l’ingestion du cannabis en Espagne au 12ème siècle et en France au 13ème. Nombre d’autres médications naturelles furent simultanément bannies. Quiconque se servait de chanvre pour communiquer, soigner ou dans un autre but était aussitôt étiqueté comme "sorcier". Jeanne d’Arc, en 1430, fut entre autres choses accusée d’avoir utilisé des drogues à base de plantes de sorcières, y compris du cannabis, pour entendre des voix. Les gens du peuple qui osaient ne pas se soumettre à ces lois pouvaient, dans certains cas, être puni de mort.

Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Chaman12

Mais revenons à nos « vieux sages », ceux ci utilisent effectivement généralement des produits d’origine végétaux, cactus, champignons, lianes, etc. qui après des stades de préparation, séchage, une concoction pour devenir la boisson où l’aliment qui permet de se relier au ciel, au moi, à la terre, etc.

Les vertus thérapeutiques de l’ » entada rheedii », communément appelé l’herbe de rêves africaine sont connus et employés par des tribus de l’Afrique du Sud depuis des siècles. L’herbe de rêves africaine est toujours utilisée à ce jour par des guérisseurs et des grands prêtres pour communiquer avec le monde des ancêtres en induisant des rêves vifs et d’apparence réelle.

Préparation traditionnelle : En fonction de l’usage souhaité, les préparations traditionnelles peuvent largement varier. Pour provoquer des rêves lucides et communiquer avec le monde des esprits, la chair à l’intérieur de la graine est soit consumée directement soit coupée, séchée et mélangée avec d’autres herbes comme le tabac et fumée juste avant le coucher.

Effets traditionnels : Il existe beaucoup de rapports non scientifiques et des anecdotes sur les effets de l’herbe des rêves africaine. Ces rapports se divisent en deux catégories principales. Les rapports de la première catégorie affirment que cette graine augmente la capacité de s’endormir et de garder le sommeil ainsi que de produire des rêves d’appartenance réelle de durée plus longue, plus mémorables, mais pas forcément lucides. La deuxième catégorie de rapports décrit l’effet de la graine comme une entrée dans le monde des rêves. La graine favorise une conscience augmentée durant le sommeil rapide ce qui aide le dormeur à se réaliser qu’il est en train de rêver et de lui donner un coup de pouce afin d’atteindre la lucidité en cours de rêve. En tout cas, l’herbe des rêves africaine s’est mérité une réputation d’être l’herbe des rêves par excellence.

Nous n’allons pas n’en plus oublier la célèbre herbe pour nos animaux familiers : Les chats l'aiment beaucoup aussi, et lorsqu'ils en mangent, ils deviennent très excités d’ou sont nom « herbe à chat » !

Drogues et hallucinogènes : Côté positif ? Betel10
Betel - femme thai

Et avec les plantes tels que le blé, le sègle, le riz, le mil, la vigne, etc, l'homme distille de merveilleux breuvages ...

Concernant les "dents rouge", c'est la mastiquation du betel (les feuilles) qui donne cette coloration à la salive, puis a la dentition !
Les feuilles de bétel sont utilisées comme stimulant, antiseptique, et pour rafraîchir l'haleine.
Elles sont également utilisées en infusion, pour traiter l'indigestion, comme onguent, ou en inhalation contre les maux de tête, comme traitement contre la constipation, comme décongestionnant, et comme aide à la lactation.

Dans la médecine ayurvédique, elles sont employées comme aphrodisiaque.
Mâcher du bétel est mentionné dans le Kama Soutra.


Les sites de vente de végétaux « de vieux sages indiens » sont illégaux en France dans la mesure où, même si les produits qu’il commercialise ne sont pas considérés comme des stupéfiants, le fait de les présenter comme des “stupéfiants légaux” procurant les mêmes effets tombe sous le coup de l’article L.3421-4 du code de la santé publique. Celui-ci réprime en termes très généraux la présentation sous un jour favorable des stupéfiants mais également des “substances présentées comme ayant les effets de substances ou plantes stupéfiantes », infraction punie de cinq ans d’emprisonnement”.

Affection, Jelt sunny

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