Les quelques exemples de codes numériques secrets ci-dessus dévoilent assez clairement la bivalence du mythe 666 et la Dualité Bien - Mal. Comme une médaille et son revers, Dieu et le Diable auraient une coexistence pacifique. Ainsi, l'Ange déchu, Lucifer, a le même code secret (666) que le Fils de Dieu, Jésus. Toutefois, du fait de l'omnipotence et de l'omniprésence de Dieu, le Diable semble toujours sous contrôle; ce qui devrait suffire à rassurer tous et chacun.

En effet, tel qu'il appert de notre calculateur et des diverses méthodes de codage numérique, les expressions ont bien souvent une valeur numérologique à la fois égale à la bête (666) et à l'anti-bête (999)... Si à la fin d'une lecture attentive des conclusions objectives émises dans ce site, vous n'êtes toujours pas convaincu de la futilité d'une interprétation morbide du mythe 666, et pas rassuré avec l'omnipotence, l'omniprésence de Dieu et sa protection, vous auriez peut-être besoin de l'aide externe d'un exorciste ou d'un psychiatre.

Il importe ici de souligner que la numérologie, science de la symbolique des nombres, est pratiquée depuis la nuit des temps. Elle est indispensable à la compréhension des codes secrets contenus dans les messages des textes sacrés, des temples, des monuments et des symboles religieux; aussi bien chez les anciens Égyptiens, Babyloniens, Chinois, Indiens que dans la Kabbale juive, la Bible et le Coran. Comme le rappelle Claude Peignot:
«Le symbole est la représentation matérielle d'une réalité qui dépasse la connaissance immédiate... Parmis les symboles les nombres méritent une attention particulière... Ainsi donc pour les hommes de l'Antiquité et du Moyen-Âge les nombres sont des êtres philosophiques et des forces agissantes, des expressions de la pensée divine.»

Selon un penseur de la Grèce antique:
«Le nombre subsiste toujours et se retrouve en tout; l'un dans la voix [selon la Bible, Dieu crée par la parole ...], l'autre dans ses proportions; l'un dans l'âme et la raison et l'autre dans les choses divines.»
(Proclus)

Pour le mathématicien grec Pythagore (auteur du fameux théorème du carré de l'hypoténuse d'un triangle:
«C'est le nombre qui règle l'univers ... tout est arrangé par le nombre»

Ce sera seulement au premier siècle que Nicomaque de Gérase précisera pourquoi:
«Le chaos Premier manquant d'ordre et de forme fut organisé et ordonné par le nombre.»
Malheureusement, la Vérité des nombres, les secrets de la Bible et de ses codes numériques sont restés pendant trop longtemps l'apanage des seuls initiés, des sectes occultes ou des Églises [autrefois, même la lecture de la Bible était interdite par le clergé]. Cet absurde secret habituel constitue non seulement une insulte grave à l'intelligence humaine [selon la Bible, tout être humain est créé à l'image de Dieu, donc avec un potentiel intègre de compréhension des choses] mais aussi une triste main basse sur la connaissance universelle.

Or, selon Albert Einstein[2]:
«Il est de première importance que le grand public ait la possibilité de prendre conscience - clairement et intelligemment - des efforts et des résultats de la recherche scientifique ... Réduire et limiter le corps de la connaissance à un petit groupe anéantit l'esprit philosophique d'un peuple, et conduit à la plus grave pauvreté spirituelle.»