Cercle de Samsara
Il n'y a qu'un Dieu, mais Ses noms sont innombrables, et innombrables aussi les aspects sous lesquels Il peut être considéré.
Nommez - Le de n'importe quel nom et adorez - Le sous l'aspect qui vous plaira le mieux, vous êtes certain d'arriver à Lui.
Cercle de Samsara
Il n'y a qu'un Dieu, mais Ses noms sont innombrables, et innombrables aussi les aspects sous lesquels Il peut être considéré.
Nommez - Le de n'importe quel nom et adorez - Le sous l'aspect qui vous plaira le mieux, vous êtes certain d'arriver à Lui.
Cercle de Samsara
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-25%
Le deal à ne pas rater :
-25% Samsung Odyssey G9 G95C – Ecran PC Gamer 49″ Incurvé
599 € 799 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 la force d'une idée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
dubuisson

dubuisson

Nombre de messages : 813
Age : 74
Bonus : 1005
Date d'inscription : 09/11/2010

la force d'une idée Empty
MessageSujet: la force d'une idée   la force d'une idée Icon_minitimeMar 26 Juin - 14:46


Bonjour à tous

Une discussion entre amis ce week-end m'a ramené ce matin, mais je ne sais pas pourquoi, un détail relatif à mon service militaire. Je me suis souvenu d'un surnom que m'accordaient mes camarades de galère de cette époque. Ce surnom était le "séminariste"; surnom attribué en référence aux jeunes gens voulant suivre une carrière ecclésiastique. J'avais été très étonné ne me dirigeant pas du tout vers cette voie.

Ces jeunes m'avaient expliqué qu'ils me "baptisaient Smile" ainsi à cause d'une expression sur mon visage. Certains me comparaient aux jeunes gens voulant accéder à la prêtrise et me disaient que j'avais une "tête de curré". Vous imaginez mon étonnement !

Des discussions éclairèrent le sujet. Il est vrai que le service militaire à cette époque était obligatoire. Je m'acquittais donc de cette énorme et stupide corvée, qui bloquait socialement beaucoup de jeunes comme moi, en la considérant comme un impot à payer à mon pays; mais pas seulement.

J'étais jeune mais mon plus fort et plus grand désire à cette époque était de fonder un foyer. J'avais déjà rencontré celle qui devait être ma future épouse et le service obligatoire était une barrière sociale d'une année. Ce qui est très long quand on est jeune.
J'avais beaucoup, beaucoup, de force de caractère à cette époque et disais haut et fort à qui voulait l'entendre que la seule personne qui pouvait me faire changer d'avis pour quoi que ce soit, était moi-même et personne d'autre. Et croyez moi c'était vrai.

Je m'étais donc auto-programmé pour subir cette bêtise qu'était le service militaire en me basant fortement sur l'idée que tous ces gens, ces gradés, autour de moi, pouvaient bien dire et faire ce qu'ils voulaient, jamais ils ne pourraient arrêter le temps qui passe. Simplement cette idée; mais je la vivais fortement à chaque minute de ma présence dans cette caserne, chaque moment qui s'écoulait me rapprochait de la sortie. Je pouvais ainsi accepter tous ces ordres ridicules venant de ces gradés que je considérais comme des malades mentaux, ou des frustrés, qui s'agitaient dans tous les sens en pensant me priver de mon cerveau qui était ma plus grande force. Inutile de vous dire qu'ils n'y sont jamais parvenu. Il y avait incompréhension totale des deux côtés. Du mien, un énorme sourire (moqueur) intérieur, si puissant qu'il se reflètait sur mon visage. D'où le surnom donné par mes camarades. J'avais, parait-il, la même expression de béatitude qu'un jeune homme illuminé se déstinant à la religion.

Cela ma valu quelques accrochages avec les gradés qui ne comprenaient pas pourquoi la seule personne qui pouvait me faire rester dans cette foutue caserne c'était moi et non leurs ordres, ni le poids autoritaire du système social, qui existait dans mon esprit seulement parce que je le voulais bien, et pendant la durée que je décidais.

Un jour je suis parti (sans permission) pendant six jours rejoindre celle qui serait ma femme. Nous sommes même passés en Espagne pour mieux profiter de la vie. Je me souviens de la tête du sergent et de ses propos quand je suis revenu. Il était complètement ahuri : " ... Et vous partez ...? Comme ça... ?" Les bras lui en tombaient... Moi je ne voyais vraiment pas où était le problème, me sentant totalement libre dans ma tête. Ce type m'était complètement étranger et n'avait absolument aucune incidence sur moi ou sur mes décisions. Il en prenait conscience et se trouvait devant un gouffre d'incompréhension.....

Voilà comment une idée peut libérer de beaucoup de choses, de situations apparemment contraignantes. Tout est dans l'esprit, dans la force de la pensée, dans la puissance d'une idée.

Avez-vous, vous aussi utilisé un jour comme cela la force de votre pensée ?

Sympathie à toutes et tous.

dubuisson sunny
Revenir en haut Aller en bas
vasariah06

vasariah06

Nombre de messages : 448
Age : 61
Bonus : 486
Date d'inscription : 04/04/2012

la force d'une idée Empty
MessageSujet: Re: la force d'une idée   la force d'une idée Icon_minitimeMer 27 Juin - 5:40

Bonjour Dubuisson,

Je pense à de l'autosuggestion mentale quand je vous lis. Il faut une grande force mentale. Cela permet de se soustraire à la contrainte et accepter dans votre cas, cette situation. Y compris éviter d'être "décervelé" !! Smile

Bien à vous
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



la force d'une idée Empty
MessageSujet: la force d'une idée.   la force d'une idée Icon_minitimeMer 27 Juin - 8:12

Bonjour à toutes et à tous, bonjour Dubuisson.

C'est vrai Vasarhia l'autosuggestion est bien là. Mais je pense aussi à une forme de dédoublement psychique: une partie de soi étant à l'armée, transparente, et, l'autre complètement dans votre vraie vie profitant pleinement de votre future épouse et indifférent des tâches et des obligations de l'armée et des conséquences
que cela aurait peut être pu entraîner à votre retour.

Il faudrait plus souvent utiliser l'autosuggestion afin de nous permettre comme vous le dites d'être libre dans notre tête, détachés, transparents.

Bien à vous.

Sourire
Revenir en haut Aller en bas
offelie

offelie

Nombre de messages : 212
Age : 65
Bonus : 262
Date d'inscription : 16/10/2010

la force d'une idée Empty
MessageSujet: Re: la force d'une idée   la force d'une idée Icon_minitimeMer 27 Juin - 8:18

Bonjour à toutes et tous,

J’ai déjà vécu ce type d’expérience à maintes reprises. Je me souviens d’une fois, alors que je travaillais dans une entreprise, l’ambiance était si mauvaise que le matin en arrivant j’avais l’impression qu’une chape de béton me tombait sur les épaules. Pour couronner le tout une collègue me détestait au plus au point. J’appris même plus tard, qu’elle avait menacé (à mon insu) de me taper dessus ! Pour la petite histoire, c’était uniquement parce que je suis rousse et que son mari était fan de la chanteuse Axelle Red… Les humains sont parfois bizarres…

Finalement, assez rapidement, j’ai analysé la situation. Je me suis bien reprochée quelques temps d’avoir manqué de foi pour accepter la transformation d’un CDD en CDI dans ces conditions. Mais, le chômage, ça use et ça fait perdre ses repères et dévier de sa voie. Hélas ! Puis, j’ai réalisé qu’il ne s’agissait que d’une épreuve et qu’elle allait bien finir un jour où l’autre.

Alors, je me suis « blindée ». Mon destin n’était pas celui de martyre. J’étais vouée à autre chose, il suffisait d’être patiente et d’attendre que ce qui était prévu pour moi se mette en place. Cependant, le spiritisme m’a appris (ou plutôt confirmé) que rien n’arrive sans rien. C’est donc tout naturellement que j’ai fait ma part de « boulot » en travaillant sur la pensée créatrice, entre autre.

Et là, tout a coulé, glissé sur moi comme sur une toile cirée. L’agressivité, la méchanceté gratuite, les insultes, le mépris, rien ne m’atteignait et bien au contraire. Je n’ai jamais autant prié pour mes ennemis ! Mais, en était-ce vraiment ? Je n’étais pas la seule visée, ils se conduisaient tous ainsi les uns envers les autres. Alors ?

Puis, d’un coup, et rapidement, sans que personne ne s’en doute, le « miracle » est arrivé. Et j’ai eu encore droit à un épisode chômage (mais très court, celui-là) car l’entreprise a décidé de conduire une charrette de personnel vers la sortie et grâce à Dieu, j’en ai fait partie.

Il n’y a pas de doute, quand on est déterminé à prendre sa vie en main, dans le chaos de certaines situations (mais attention ! Sans faire de mal à autrui), il nous pousse des ailes…

Bonne journée.

Offélie
Revenir en haut Aller en bas
offelie

offelie

Nombre de messages : 212
Age : 65
Bonus : 262
Date d'inscription : 16/10/2010

la force d'une idée Empty
MessageSujet: Re: la force d'une idée   la force d'une idée Icon_minitimeMer 27 Juin - 9:25

Pour celles et ceux que ça intéresse, j'ai "posté" dans la rubrique "spiritisme" un petit topo intitulé "les formes pensées".

Bonne lecture.

Offélie


lien direct :
http://www.cercle-de-samsara.com/t2006-les-formes-pensees
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




la force d'une idée Empty
MessageSujet: Re: la force d'une idée   la force d'une idée Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

la force d'une idée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Ohé ohé braves membres tous à vos jeux, médiums tous a vos intuitions, ;)
» Rituel pour la Force Magique avec les runes
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Cercle de Samsara :: Médecine & Spiritualité :: Médecine & Spiritualité-
Sauter vers:  
Le Cercle de Samsara vous apporte des satisfactions,faites un don!
Le Cercle de Samsara vous apporte des satisfactions,faites un don!
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Cookies | Forum gratuit