Depuis combien de temps êtes-vous médium?En tant que professionnelle, cela fait cinq ans. En fait, je pense que j’ai toujours été médium mais que cela s’est révélé très tard.
Comment avez-vous commencé?Un jour, dans une soirée, je parlais avec une personne que je ne connaissais pas. Je lui décrivais précisément des éléments de sa vie, de ses proches. Elle n’en revenait pas!
Comment vous définiriez-vous?Je suis une médium pure! J’ai un don qui fait partie intégrante de ma vie et qui la rythme. J’ai beaucoup de flashes visuels, je sens des odeurs et je peux même me transporter dans un endroit.
Utilisez-vous un support de divination?Au départ, j’ai commencé avec le pendule.
Au bout de deux mois, j’ai arrêté ! Mes flashes me venaient plus vite que la réponse du pendule!
Hésitez-vous à dire la vérité aux gens?Jamais. Je ne fais pas de voyance de complaisance.
Je considère qu’une personne qui vient consulter un voyant fait cette démarche pour entendre des choses.
Néanmoins, je ne cherche pas à aller plus loin que ce que le client me demande.
Considérez-vous que vous avez un don, que c’est une technique ou bien un apprentissage sur le long terme?Ce n’est pas du tout une technique, c’est uniquement un don.
A quel pourcentage estimez-vous que vos prédictions sont fiables ?C’est difficile à dire… 80 % à 90 %. Je ne suis pas Dieu, je suis loin d’être infaillible!
Je me trompe même parfois, et heureusement d’ailleurs. Mes guides me rappellent ainsi que je ne suis qu’un médium qui transmet des informations.
Que répondez-vous aux gens qui pensent que vous êtes plus psychologue que médium?Je m’énerve! (rires). Je donne tellement de détails dans mes consultations qu’on ne peut pas me dire que je suis une psychologue.
Mais il est certain qu’il y a une manière d’amener les choses et de parler aux gens. Je suis tout de même en face d’êtres humains.
Merci !