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 AMA - EXISTENCE DU MONDE SPIRITUEL

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MessageSujet: AMA - EXISTENCE DU MONDE SPIRITUEL   AMA - EXISTENCE DU MONDE SPIRITUEL Icon_minitimeSam 6 Mar - 22:39

PHENOMENOLOGIE ORGANIQUE ET PSYCHIQUE DE LA MEDIUMNITE
Dr. SÉRGIO FELIPE DE OLIVEIRA
Médecin Généraliste et Psychiatre
Directeur de l'Institut de Santé Pinealmind
Président de l'AMS de l'état
AMA - EXISTENCE DU MONDE SPIRITUEL Sergio10


(Source Jelt, AMA France - les annales de la rencontre à Paris, le 16 novembre 2003)

Première rencontre Médecine et Spiritualité



* Nous allons parler aujourd'hui des états de transe et des phénomènes médiumniques. Nous pensons que les hypothèses que nous allons présenter et les recherches déjà effectuées démontrent leur importance dans le contexte de la santé et les placent dans un secteur plus ample de la médecine, celui de la neuro-anatomie fonctionnelle et transpersonnelle.

Nous pouvons aborder librement ce sujet car le Code International des Maladies (CID) n° 10 (F 44.3) reconnaît les états de transe et de possession par les esprits, de même que le Traité de Psychiatrie de Kaplan et Sadock de l'Université de New York, dans le chapitre sur les Théories de la Personnalité et Cari Gustav Jung qui dans son premier ouvrage, analyse le cas d'un médium, une jeune fille, possédée par un esprit, dans l'étude qu'il a fait sur les phénomènes occultes. D'ailleurs, l'Association Américaine de Psychiatrie se sert de ce terme, possession par les esprits, dans le DSM4.
La jeune femme étudiée par Jung était possédée par des esprits et avait des crises de type hystéro épileptiformes, c'est-à-dire, un mélange d'hystérie et d'épilepsie, une altération complexe du comportement. Pendant une session médiumnique, elle manifestait la personnalité d'un esprit connu, familier pour les assistants. Après les attaques spirituelles, elle se plaignait de fortes douleurs à la tête, qui était soulagées par un rituel qu'elle-même avait mis au point, celui de l'auto-passe, qui l'aimantait d'énergie par les mouvements des bras.

Hahnemann, le fondateur de l'Homéopathie, a utilisé ce terme — passe — dans l'Organon ; Jung aussi dans ses ouvrages.
Les phénomènes médiumniques sont très riches, ils peuvent se présenter sous la forme de symptômes organiques et psychiques, lorsqu'il s'agit de phénomènes occultes ou paranormaux.
Pour les examiner, nous allons placer du côté de la pensée contemporaine de la science.

EXISTENCE DU MONDE SPIRITUEL


La première hypothèse que nous étudierons est celle de l'existence du monde spirituel.
La. physique actuelle a présenté diverses théories pour essayer d'unifier toutes les forces physiques connues ; l'une d'elles est la Théorie des Supercordes qui présuppose l'existence de 11 dimensions, connues aussi sous le nom d'univers parallèles, et correspond à la révélation spirite concernant les divers plans de la vie spirituelle.

De façon très simplifiée, nous pouvons dire que la Théorie des Supercordes s'appuie sur l'hypothèse suivante : les particules atomiques sont comme des cordes d'énergie. Donc si nous schématisions un électron, nous verrions une corde, avec une vibration à une extrémité ; si c'était un neutron, ce serait la même corde, mais elle aurait par exemple, une vibration sur la position intermédiaire et un proton vibrerait à l'autre extrémité. Ainsi, ces trois particules d'atome seraient des cordes, porteraient la même structure, mais elles auraient des vibrations différentes. Ces oscillations particulières seraient responsables de leur configuration.
On arrive de cette façon à tout unifier, à atteindre la particule essentielle, que nous pourrions appeler la supercorde simple.

Bien que nous n'ayons pas de preuve finale de cette théorie, il est intéressant d'en suivre les développement, car Allan Kardec dit la même chose dans les oeuvres qu'il a reçues des Esprits : que la matière a pour origine une substance primordiale, dénommée fluide cosmique universel. H existerait donc une correspondance quelconque en termes d'idée, entre la supercorde et ce fluide, et il serait très intéressant d'étudier cette convergence. Lorsque nous approfondissons cette question, nous constatons que l'idée des cordes, utilisée pour comprendre les sous-particules atomiques, peut être transportée à la compréhension du macrocosme. Nous disons cela car pour étudier l'origine de l'univers, il nous faut rechercher la source des particules et sous-particules atomiques, car en fait tout a commencé d'un point plus petit qu'une tête d'épingle. Donc les formes et les modèles qui existent dans le microcosme seraient reproduits dans le macrocosme.

Est-ce que l'univers est aussi une grande corde d'énergie ? Nous allons tenter d'utiliser cette idée pour comprendre la forme de l'univers.
Imaginons que notre dimension soit une grande corde d'énergie, un tapis. Continuons le raisonnement : notre espace tridimensionnel, est courbe. Nous le savons car si nous essayons de faire une triangulation de trois étoiles dans le firmament, nous allons constater ce qui suit : ces trois étoiles forment un triangle, dont la somme des angles internes et plus grande que cent quatre-vingt degrés. Et cela n'est possible que si ce triangle est dessiné•ur un espace courbe.
Analysons ceci maintenant : lorsque nous avons un plan bidimensionnel, comme une feuille de papier, par exemple, au moment où elle se courbe, elle le fait vers la troisième dimension. Ainsi, l'objet qui était plat auparavant, devient un cylindre et passe de deux à trois dimensions.

La même chose se produit avec l'espace à trois dimensions, comme il est courbe, nous pouvons dire alors qu'il se courbe vers la quatrième dimension. Et ainsi de suite. La quatrième dimension est un espace qui s'appelle espace-temps.
Mais le temps est courbe aussi, pour des raisons que n'allons pas discuter ici. Comme il est courbe, il se courbe vers la cinquième dimension et ainsi de suite, de façon que pour les calculs complexes de la Théorie des Supercordes, on arrive à onze dimensions.

Ce serait donc le même tapis, imaginé au début, courbé, un plan sur l'autre. C'est le même univers, mais plié en plusieurs dimensions, et celles-ci seraient des univers parallèles, qui correspondraient à ce que nous appelons les plans spirituels ou Spiritualité. De sorte que nous nous posons la question suivante : est-ce que dans ces univers parallèles ne se trouve pas la continuité de la vie ? C'est possible, car après la troisième dimension, où nous nous trouvons, nous laissons le corps physique et partons vers une autre. Ce serait le phénomène de la mort, suivi d'une renaissance vers une nouvelle vie.
Imaginons deux personnages : Jean et Marie vivent dans un plan bidimensionnel ; ils ont la possibilité de visualiser tout ce qui est compris dans deux dimensions, car ils ont une structure sensorielle adaptée à cela. Nous qui sommes dans la troisième dimension, nous pouvons voir Jean et Marie, mais ils ne peuvent pas nous voir, sauf s'ils sortent du monde où ils sont pour arriver à nous.

Le même raisonnement est valable pour la quatrième, cinquième et les autres dimensions, qu'on appelle aussi univers parallèles. Ceci se produit tout le temps : s'il y a quelqu'un dans une dimension au-dessus de la notre, il peut nous voir, mais nous, nous ne pourrons le voir que si nous sortons de notre corps, par dédoublement ou Expérience Extracorporelle (EEC ou OBE), et nous entrons dans le monde où il se trouve.

*Après avoir analysé ce concept, il nous faut étudier la structure physique qui compose les dimensions spirituelles. Nous allons donc voir quelques éléments de la constitution de la matière.
Le premier point est que la matière, telle que nous la voyons et sentons, est constituée d'atomes, composés à leur tour de protons, neutrons et d'un nuage d'électrons. Toute matière a donc pour ainsi dire, sur sa surface, une quantité d'électrons qui sont des particules de charge négative.

Lorsque nous rapprochons deux corps matériels, nous sommes en réalité en train de réunir des couches d'électrons ; c'est comme rapprocher des aimants ayant la même polarité, cela provoque une répulsion, car l'attraction, nous le savons déjà, n'est possible que s'il y a des pôles contraires. Dans le cas de la matière, la couche superficielle est formée d'électrons, ce qui implique la répulsion et c'est celle-ci qui donne l'impression tactile. Lorsque nous prenons un objet, nous sentons la répulsion des électrons.

S'il était possible de toucher la matière comme on l'imagine communément, cette couche d'électrons entrerait dans une autre, de façon à produire une véritable fusion atomique. Et cela provoquerait une énorme explosion. Ainsi, une poignée de main, une accolade seraient une explosion qui pourrait peut-être détruire le monde. On en conclut donc que la matière est intangible.

Un autre fait intéressant est que pour qu'un objet soit vu, il faut qu'il soit illuminé ; ce que nous voyons en fait ce n'est pas l'objet, mais la lumière qui s'y reflète. La matière est donc invisible et intangible.
C'est curieux, car normalement le matérialiste croit en la matière consistante, alors qu'en réalité elle ne l'est pas.

Un autre aspect important : il est possible de toucher une personne, de l'entourer de ses bras, de l'embrasser et de ne rien sentir. De même une personne qui est loin peut être évoquée, par un souvenir, un parfum, un objet quelconque, et on s'émeut. D'une façon poétique, nous pouvons dire que ce qui touche c'est l'esprit, l'âme, mais pas la matière, qui n'est que l'intermédiaire dans les rapports entre les personnes et entre les personnes et les objets.
Une autre point à considérer est que l'atome. est vide en grande partie. C'est-à-dire, l'essence de la matière est constituée de vide. Ce qui signifie l'absence absolue de matière.

Einstein dans ses calculs avait déjà présumé que dans le vide de l'atome, se trouverait aussi une énergie qu'il a dénommée énergie quantique fluctuante du vide.
Par la suite, Paul Dirac, Prix Nobel de Physique, a travaillé cette question du vide atomique, et a affirmé qu'il existe une mer de particules, sous-jacentes. Comment comprendre cette mer de particules ? Elles vibreraient à une vitesse infinie, en devenant ainsi invisibles, comme cela se produit avec les ailes d'un ventilateur ou les hélices d'un avion, qui oscillent très rapidement, et pour cela on n'arrive pas à les voir. Ainsi, les particules qui ont une vibration très rapide deviennent invisibles pour nos dispositifs scientifiques qui n'ont pas la technologie pour les détecter.
Nous avons donc une mer invisible.
Quand une particule se choque contre l'autre, qu'elle vient de cet univers sous-jacent au
vide, elle perd un peu de sa vitesse, qui devient similaire à celle de la lumière et particules. C'est comme si c'était une pierre que l'on jette vers le haut, qui va jusqu'à un certain point et puis retombe.

En réalité, l'énergie quantique fluctuante du vide est représentée par des particules de matière ou d'antimatière qui ont une vitesse présumée supérieure à la celle de la lumière qui pourraient éventuellement être détectés dans le vide atomique, par nos senseurs, en retombant par la suite dans la mer de particules.
Curieusement, à l'Université de S'ab Paulo, à l'Institut de Physique, le Laboratoire de Recherche de Hadrons se base sur l'idée que dans le vide en réalité se trouverait la plus grande partie de la structure de la matière, sous-jacente à celle-ci, et qu'il y existerait un univers de particules qui n'ont pas encore été vues. Il existe au Brésil un ouvrage psychographié par Francisco Cândido Xavier qui parle du travail des chercheurs, et qui s'appelle « Dans le domaine de la médiumnité » et qui fait partie d'une collection de quatorze livres, romancés, qui nous apportent des révélations scientifiques et expliquent la question de la relation entre le monde spirituel et le monde physique.

Dans l'introduction de ce livre, Emmanuel, l'Esprit Protecteur du médium, affirme que les chercheurs matérialistes sont aussi au service de Dieu, car en recherchant la structure de la matière, ils arriveront à la conclusion qu'elle n'existe pas et ils perdront l'objet de leur propre conviction.
Et que se passe-t-il depuis le début de la physique quantique ?
En réalité le terme matière doit être élargi, car elle n'est pas seulement celle que nous pouvons toucher, mais aussi celle qui entre dans la constitution de ces univers parallèles ou plans spirituels, qui seraient dotés d'autres modèles qui lui appartiennent, qui vibrent à une autre fréquence, dans une autre dimension. Théoriquement donc, dans les diverses dimensions, elle continue d'être consistante pour leurs habitants.
Ainsi, le plan spirituel ne serait pas constitué de figures virtuelles ou de fantômes éthérés, mais d'entités ayant une consistance physique solide, avec une grande expression de couleurs, de formes, de sons, composés d'autres modèles de matière encore inconnue par notre science contemporaine, mais qui est déjà présumée par les études de la physique théorique ou de la physique mathématique.
Comment traduire tout cela en équations ? Pour cela, il est nécessaire d'analyser le rapport entre masse et énergie.

L'énergie,

Si nous prenons la formule d'Einstein :

l'énergie est directement proportionnelle au produit de la masse par la vitesse de la lumière au carré, divisé par la racine carrée de un moins la vitesse de la particule étudiée, sur la vitesse de la lumière au carré avec la vitesse de la particule tendant à la vitesse de la lumière.
Cette équation de Einstein nous mène pour une particule qui a presque la vitesse de la lumière à une énergie élevée, détectable par nos appareils, cette équation va représenter tout notre univers biologique, matériel biologique, notre biosphère ; la réponse à cette équation serait notre corps physique, ou mieux, biologique et aussi notre double éthéré.

* Qu'est-ce que le double éthéré ?
Ce sont toutes les radiations physiques de notre corps, les radiations électriques par exemple. Lorsque nous faisons un électrocardiogramme, nous détectons la radiation du coeur ; un électroencéphalogramme celle du cerveau. Nous pouvons aussi détecter la radiation magnétique à travers l'IRM nucléaire de notre corps. Cela veut dire que notre corps a une radiation électromagnétique ainsi qu'une radiation de chaleur, et toutes ces radiations appartiendraient au corps organique à partir du double éthéré. Avec la mort du corps biologique, ce corps subtil périt aussi.
L'équation d'Einstein répondrait pour les phénomènes biophysiques qui se produisent dans le corps biologique et dans le double éthéré.

l'énergie est directement proportionnelle à la masse initiale par la vitesse de la lumière au carré, sur la racine carrée de la vitesse de la particule étudiée sur la vitesse de la lumière au carré moins un, dans ce cas la vitesse de la particule étudiée tendant vers l'infini.
Nous concluons ainsi que la vibration de la particule étudiée serait infinie, et qu'elle ne se limiterait donc pas aux 300 mille km/s de la vitesse de la lumière. Cette autre réponse a été laissée de côté par les études de la physique, car elle déroge à la Loi de la Causalité. Si nous avions une particule qui dépasse la vitesse de la lumière, elle reculerait dans le temps et nous aurions alors une dérogation de la loi de la causalité. Cela provoque un malaise chez les physiciens car il faudrait qu'ils modifient les paradigmes de la physique en soi, même ceux qui servent de modèle et de guide dans notre vie quotidienne.
L'Energie subtile

Le fait est que cette équation existe. Il y a des chercheurs qui recherchent une représentation physique de cette équation et croient qu'elle peut représenter une autre réalité physique. Nous pensons que cette équation peut être utilisée : l'infini divisé par la vitesse de la lumière est l'infini, moins un, c'est l'infini.
Nous voyons donc que la vitesse de la particule étudiée peut être infinie, alors nous allons placer ici l'infini. Le produit de la masse par la vitesse de la lumière au carré divisé par l'infini va donner un nombre infiniment petit, une énergie très petite que nous pourrions appeler énergie subtile. Cette énergie serait vitale, propre au périsprit, au corps bioplasmique ou à la matière du plan spirituel. L'équation répondrait à cette question.
Cela veut dire que les particules auraient une vibration si intense qu'elles deviendraient indétectables pour les senseurs et les appareils que la science possède aujourd'hui en termes de technologie.

Nous allons voir graphiquement une représentation de ces équations :

*Si nous prenons la première équation qui correspond au corps biologique, représentée en zone A du graphique, pour une particule de matière dont la vitesse tend vers c, nous voyons que son énergie croît et tend vers l'infini; la seconde équation qui correspond au périsprit, aux corps subtils, représentée en zone B du graphique, pour une vitesse v tendant vers l'infini, nous voyons que l'énergie décroît et tend vers zéro.

Nous pouvons imaginer que nous avons en zone A l'univers physique, et en zone B l'univers mental. Selon cette formulation, l'univers physique et l'univers mental n'auraient pas de point de contact, l'univers mental serait une réalité virtuelle de l'univers physique comme l'image d'un miroir. Alors l'idée que l'imagination et la pensée seraient des choses virtuelles, destituées de représentativité physique s'encadrerait dans ce type d'équation.

Maintenant, si les deux univers s'interceptent, se marient, se touchent ici, c'est un peu comme si Alice avait traversé le miroir, alors l'univers mental ou psychique ou l'univers de l'âme aura un rapport avec l'univers physique. L'imagination et la pensée auraient un point de contact réel et concret avec l'univers physique.
Réflexions sur la pensée.

Les études récentes de tomographies par émission de positrons et les résonances fonctionnelles démontrent que l'acte de penser consomme de l'oxygène et du glucose et les différents niveaux de pensée, tels que la mémoire ou l'imagination, par exemple, provoquent une augmentation de la microcirculation cérébrale, dans des secteurs spécifiques du cerveau qui sont liés à ces modèles.

La médecine est doncen train de démontrer que la pensée est une énergie. Pourquoi ? Parce que si l'acte de penser dépense de l'oxygène et du glucose, il réalise un travail. On comprend par travail, le produit de la force par le déplacement de la matière ; nous pouvons conclure que la pensée est une force qui consomme de l'oxygène et de la glycose et en tant que tel, elle réalise un travail, elle est donc énergie. C'est une énergie qui provoque un impact sur la matière.
Il reste une grande question : est-ce le cerveau qui secrète la pensée ou bien celle-ci est produite par un autre système et notre corps et un transducteur de cette pensée ? En d'autres mots, le cerveau est le producteur ou le véhiculeur de la pensée ?

* Pour chercher les réponses, il nous faut aborder un peu la mathématique de Gôdel, cet éminent mathématicien .qui a travaillé avec Einstein. Je vais essayer de traduire avec mes mots, l'élaboration mentale complexe du théorème de Gôdel.
L'idée de base est la suivante : un système n'est pas capable de retenir l'autoconscience. De quelle façon ? Imaginons une équation mathématique, par exemple : ax2 + bx + c = O. Cette équation a deux solutions, les solutions xt et xn. Cette équation explique le résultat, mais le mode de fonctionnement de cette équation ne pourra être expliqué que par une autre équation qui vient du dehors.

Analogie avec l'ordinateur
Par analogie, si nous considérons l'ordinateur : il peut être le plus élaboré du monde, ultra-rapide, presque doté d'une conscience propre, presque, parce qu'il dépend d'un programmateur qui vient de dehors. S'il n'y avait pas de programmateur, il ne fonctionnerait pas. Il ne peut pas générer sa propre existence.
Imaginons que cet ordinateur soit notre cerveau, le plus parfait déjà construit. Sans un programmateur, cet ordinateur ne serait pas capable d'avoir une conscience propre.

La conscience doit donc venir du dehors, d'un programmateur qui n'appartient pas à sa structure.
Ainsi, selon le théorème de Gôdel, le système n'est pas capable d'avoir une conscience propre, elle doit venir de l'extérieur.
Si notre cerveau est un ordinateur, la conscience ne vient pas de lui, certainement, il y a un programmateur en dehors de lui, c'est-à-dire un métas-ystème, qui est distinct de lui. Pour nous ce méta-système est l'esprit, l'âme ou le psychisme. Le cerveau serait donc un archiveur, un processeur, un ordinateur qui viendrait d'un programmateur qui est l'esprit. Cette idée est révolutionnaire dans le domaine de la neuroscience. En réalité, notre conscience ne vient pas du corps, celui-ci serait son transducteur, car son origine serait un méta-système ou Esprit.

Survivance de l'Esprit à la mort
Une autre grande question que l'on peut se poser est la survivance de l'Esprit à la mort du corps physique.
Comme nous n'avons pas de réponse définitive, nous allons travailler sur cette hypothèse : la personnalité, l'identité de la personne vient de l'Esprit. Le corps meurt, mais l'esprit survit et va habiter dans les univers parallèles, les dimensions spirituelles.
Platon dans son livre « la République » raconte l'histoire d'Er, un individu qui est sorti de son corps physique pour visiter le monde spirituel, en racontant à son retour cet autre plan du point de vue physique. Dans l' ceuvre de Dante Alighieri « La Divine Comédie », nous voyons la description du ciel, de l'enfer et du purgatoire, qui correspondent aux visites que l'auteur a faites dans les diverses dimensions de la spiritualité, en racontant ce qui constitue l'espace physique et la vie dans ces endroits. Nous avons aussi dans les oeuvres codifiées par Allan Kardec, par exemple, « Le Ciel et l'Enfer », des récits d'Esprits ou de personnes qui sont déjà parties vers le plan spirituel, mais qui ont conservé leur intelligence, leur individualité, après la mort du corps biologique. Ils ont raconté aussi à travers le phénomène médiumnique comment est cette consistance physique du plan dans lequel ils se trouvent, quels sont les sentiments et les sensations et les conséquences des actes qu'ils ont pratiqués pendant leur existence sur la terre.

De ce point de vue, l'oeuvre du médium brésilien Francisco Cândido Xavier est précieuse, particulièrement les récits d'un médecin qui parle du monde spirituel dans une collection de livres qui commence par l'oeuvre appelée « Notre Demeure » (Nosso Lar), très intéressante et qui a une grande valeur scientifique, même si ceux-ci se présentent sous la forme d'un roman.

Francisco Cândido Xavier a aussi laissé d'innombrables ouvrages psychographiés, parmi eux, ceux de centaines de personnes, enfants, jeune gens, adultes, vieillards, qui se sont désincarnés ou sont partis vers le monde spirituel et ensuite ont envoyé des messages à leurs familles par son intermédiaire. Ces psychographies de Chico Xavier ont été étudiées dans une recherche de l'Association Médico-Spirite de Sâo Paulo, coordonnée principalement par le Dr. Marlene Nobre et par Monsieur Paulo Rossi Severino, qui a été publiée dans un ouvrage très intéressant — A Vida Triunfa (La Vie Triomphe) — qui contient 45 messages, une étude statistique sur les psychographies de Chico Xavier, basée sur les récits des propres familles qui ont répondu à des questionnaires préparés spécialement.

Nous avons aussi les recherches dans le domaine des Expériences de Mort Imminente (Near death Experience — NDE ou Expériences aux frontières de la mort), comme par exemple celles faites par Peter Fenwick, en Angleterre, et de nombreux autres chercheurs nord-américains. Ce sont des récits de personnes qui au moment de la mort, de l'arrêt cardio-respiratoire, on visité le monde spirituel et s'en souviennent.

L'esprit survit à la mort du corps biologique et habite dans les univers parallèles. Ce type de vie peut être conçu par la science comme une hypothèse de travail. J'affirme que je vais travailler sur cette hypothèse. Seuls les avancements de la science pourront dire si elle est correcte ou pas. Si oui, le progrès scientifique le prouvera, sinon nous devrons chercher la Vérité là où elle se trouve, comme nous l'a enseigné Allan Kardec.
Les religions doivent accompagner le progrès de la science, en cherchant se baser sur elle, sur ses postulats et ses fondements. Selon la recommandation d'Allan Kardec, c'est ce qui se produit avec le spiritisme.

Réalité de l'esprit
L'hypothèse de l'existence de l'esprit et de la survie après la mort n'est pas une ressource destituée de force paradigmatique. Les mathématiques ont déjà utilisé ce type de ressources.
Par exemple, si nous considérons le nombre : N = x , il n'existe pas de solution dans l'ensemble des nombres réels.
Les mathématiques ont inventé un nombre, le nombre i, qui a été appelé nombre imaginaire, grâce à ce nombre, nous avons une solution à notre équation :
Les mathématiques, avec un nombre imaginaire, ont introduit un univers de nombres, lesdits nombres complexes. Il a été possible ainsi d'exécuter de grands oeuvres technologiques comme l'envoi de fusées sur la Lune et de sondes vers Mars et ainsi de suite.

* Même étant un nombre imaginaire, il est cependant constitué d'une représentation concrète.
Si la mathématique a créé un nombre imaginaire pour résoudre ses problèmes, est-ce que nous ne pouvons pas présumer l'existence de l'Esprit comme un recours de raisonnement pour essayer de comprendre la neurophysiologie, la neuropsychologie, la sociologie des rapports humains ? Est-ce que nous ne pouvons pas travailler sur cette hypothèse, celle de l'existence de l'Esprit, de l'être en tant qu'individualité, lorsqu'on essaie de traduire les phénomènes neuropsychologiques, neurophysiologiques et même sociologiques pour mieux les comprendre ?

Je pense donc, que nous ne sommes pas en train de commettre une hérésie lorsqu'on se sert de ce recours, celui de présumer l'existence de l'âme pour essayer de comprendre le phénomène, puisque même la mathématique l'utilise avec succès pour résoudre des problèmes complexes.
C'est ainsi que nous allons travailler notre raisonnement tout au long de la présentation de cette étude.

Nous allons présupposer l'idée suivante : il existe de nombreux plans spirituels qui sont les différentes dimensions et les univers parallèles.
Il est intéressant de rappeler aussi les recherches du psychiatre Stanislav Grof. Curieusement, pendant les années cinquante, un chimiste du Laboratoire Sandoz, a découvert une substance appelée acide lysergique et il ne savait pas exactement quelles seraient totalement les conséquences de leur ingestion. On savait seulement qu'il agissait dans le domaine du système nerveux.

Des psychiatres volontaires ont été appelés pour ingérer ladite substance et Stanislav Grof s'est présenté.
Lorsqu'il l'a avalée — je déconseille à que de soit de faire la même chose — Stanislav Grof a eu une vision du monde spirituel, selon le récit qu'il fait dans son livre « Au-delà du cerveau ». Nous avons observé le même récit chez les usagers des types de drogues les plus variés, qui elles aussi sont très déconseillées. Ces drogues peuvent emporter la personne dans les dimensions spirituelles les plus variées, des plans les plus ténébreux aux paradis.
Dans les observations faites de patients usagers de drogues, nous avons trouvé quelques points communs avec les expériences racontées par Stanislav Grof.
Centrage de la personnalité

Par la suite, lorsqu'il a été vérifié que ces drogues lésaient le cerveau, Grof a commencé a utiliser des techniques pour entrer en état de transe de façon à ne plus avoir besoin d'aucune substance psycho-active, comme celles obtenues par la musique et l'hyperpnée qui est la respiration rapide. La personne entre ainsi dans des états altérés de conscience, qu'on appelle aussi holotropiques.

La personne peut être centrée sur son univers biologique, déplacée vers le spirituel ou vers le subconscient. C'est comme si elle était attachée à son propre corps, à demi détachée de lui ou submergée dans son âme, dans son psychisme, dans son subconscient. Par exemple, lorsqu'on observe une personne au moment où elle est en train d'essayer de se souvenir d'un fait qui s'est produit avec elle, il semble que son regard se tourne vers son intérieur. C'est une impression subjective, comme si le regard devenait vague et si la personne était en train de pénétrer à l'intérieur d'elle-même, en se détachant de ce qui l'entoure ; on voit dans ce regard cette altération, c'est comme un plongeon dans l'espace subconscient ou dans l'inconscient.

Quand l'attention d'une personne est en alerte, comme lorsqu'elle attend que quelqu'un entre dans une salle, ou qu'elle aille traverser la rue, elle est centrée sur son corps biologique. Si elle est assise sur un sofa, à moitié somnolente, elle est dans une phase hypnagogique, elle sort de son corps, et a des visions, elle voit des choses, et n'est ni endormie ni réveillée, elle est dans un état de demi transe, pour ainsi dire, elle est dans la dimension spirituelle.

Il existe des témoignages relatant des phénomènes de dédoublement dans lesquels la personne s'est vraiment déplacée et a accès à des informations du monde spirituel. Qu'est-ce que tout ça veut dire ? Que notre conscience n'est pas toujours centrée dans le biologique, elle oscille. Parfois elle se déplace vers le monde spirituel, parfois elle est plongée dans le subconscient, parfois elle est dans le monde matériel, en état d'alerte. Alors notre conscience agit comme une fonction d'onde, qui oscille à la façon d'une sinusoïde. A tout moment c'est comme si nous vibrions, nous sortions de notre corps, nous plongions dans notre subconscient et nous nous centrions. Cette oscillation est continue, de sorte que notre vision de la réalité, ici dans la biosphère, dans le biologique, n'est pas continue.

Vous devez déjà avoir remarqué cela. Par exemple, quand vous allez voir une pièce de théâtre, vous vous concentrez, mais vous n'observez pas toutes les phrases, tous les mots, tous les mouvements.
Quelqu'un peut vous demander :
- Tu as vu quand l'acteur a fait telle chose ?
- Ah non, je n'ai pas vu ça.
- Mais enfin tu étais présent comment n'as-tu pas vu ça ?
Quelqu'un d'autre vous dit :
- Tu as vu telle chose ?
- Ah! ça je n'ai pas vu.
Cela veut dire qu'il existe une vision discontinue de la réalité, car notre conscience oscille entre les différents niveaux de concentration.
Parfois une personne passe devant vous et vous ne le voyez pas ; parce que la conscience oscille, notre vision de la réalité est fragmentaire.
Notre conscience est une fonction d'onde qui possède une fréquence et une amplitude.

Si une personne est dans un état altéré de conscience, soit en raison de l'usage de drogues soit parce qu'elle est en train d'entrer dans une psychose ou une autre situation de déséquilibre, elle va changer la fréquence de l'amplitude de l'onde de conscience. Elle sera donc plus projetée vers la dimension spirituelle et plus distante de la biologique ; elle sera plus tournée vers l'approche spirituelle, vers l'interactivité avec l'au-delà, ou vers le subconscient, en perdant la définition de l'image de la réalité biologique.

Dans cette position, la personne aura des difficultés à maintenir un raisonnement logique cohérent, il y a en réalité un mélange d'aspects qu'elle capte de la dimension spirituelle, de son inconscient et de sa réalité biologique.
Elle va donc apporter vers sa réalité des éléments du discours de la vie spirituelle,
subconsciente et biologique. L'image est peu définie, avec une fragmentation du discours,
* propre aux troubles dissociatifs, aux cadres psychotiques ou appelés plus couramment cadres de folie.
Elle reçoit alors l'interférence de personnalités intruses, d'autres esprits ou entités, qui ont un vécu particulier de la dimension personnelle, ou des éléments de leurs vies passés, de leur propre subconscient, tout ceci ajouté à une vision fragmentée de la réalité. Voilà comment se constitue le discours de la folie : pseudo illogique.
Je dis pseudo illogique car si vous arrivez à discriminer dans son discours tout ce que dit la personne, en séparant ce qui vient de l'influence spirituelle de ce qui vient de la dimension subconsciente et de la biologique, vous comprendrez la logique de ce qui se produit avec cette personne.
Le patient anxieux par exemple présente un phénomène intéressant : une augmentation très importante de la fréquence et l'augmentation conséquente du contact avec la dimension spirituelle et subconsciente, mais au même temps la définition de l'image de la réalité biologique est aussi très importante.
Que se passe-t-il ? Il existe une surcharge sensorielle, une confusion et après un moment, elle n'a plus d'énergie pour se supporter, et elle entre en dépression.
Ce que nous voulons démonter c'est que notre conscience oscille.

Cas d'étude d'un patient
Je vais vous présenter l'exemple d'un patient qui est en train d'osciller selon ces caractéristiques.
Ce patient est passé par le cadre que nous avons présenté ici. Je lui ai demandé que dans chaque état, il dessine et peigne une toile, puisqu'il était doué pour ça.

Etat 1 : Dans le tableau dessiné par le patient nous pouvons observer que ce dernier au-dessus d'un des bâtiments; ce qui indique d'ailleurs une tendance au suicide. Il se voit n dehors du corps, car il est en train de voler, alors que son corps est au-dessus du bâtiment. Sa vision de la réalité est psychédélique, colorée, fleurie, délirante. Nous avons ici un état de transe, une altération de l'état de conscience, et les éléments de l'univers subconscient, traduits par des délires et un vécut spirituel qui est le déplacement de son corps.

Etat 2 : Après une période de traitement pendant lequel il a reçu une médication, un traitement psychologique et spirituel, il est entré dans une seconde phase.
Nous insistons sur la valeur des médicaments, lorsqu'ils sont indiqués de façon correcte, car ils aident le patient à s'ancrer dans la réalité biologique, en bloquant le phénomène de transe.
Nous pouvons voir la confiance qu'il a dans son traitement, en effet, la figure montre comment il recherche de l'aide et comment il a confiance dans son traitement. Nous le voyons couché comme s'il était dans un berceau ou dans un giron, confiant totalement dans le traitement.
Il voit des lumières qui se rapprochent de lui, et qui font référence au traitement spirituel. En même temps, il se voit en train de sortir de lui-même ou d'être disséqué, il décrit les visages qui seraient ceux des Esprits qui le possèdent, qui le perturbaient. Les esprits obsesseurs, selon le récit.

* Etat 3 : Toujours en traitement, le patient passe par une autre phase, dans laquelle il se centralise dans la vie biologique, mais il n'arrive pas encore à trouver son identité : qui suis-je, finalement ? Il est à la recherche de son identité, c'est-à-dire qu'il se place déjà un peu plus au centre de la dimension biologique, mais il ne comprend pas encore exactement où rechercher son identité.

Etat 4 : Finalement, toujours en traitement, nous arrivons à la phase dans laquelle le patient se centralise, et commence à vivre la réalité biologique dans l'univers corporel. En second plan, les restes de tout ce qu'il a passé et une grande question : que s'est-il passé avec moi ?
Dans cet état, il vit la dimension spirituelle propre aux états de transe, la conscience est plongée dans le spirituel et dans le subconscient; il cherche à se centrer, il cherche un objectif dans la dimension biologique. Ainsi, la fonction d'onde de la conscience se centralise ici plus près de la dimension biologique.

Alors que se passe-t-il ? Qu'est-il en train de se produire ?
Pendant notre vie nous parcourons les divers espaces de nos dimensions : l'interne, la spirituelle et la biologique. La variation des standards d'oscillation va caractériser les divers états altérés de conscience, y compris les pathologiques, les maladies diverses.
Nous Ilions étudier comment tout cela est traité dans notre cerveau, dans notre psychisme. Comment se produisent les phénomènes dans notre liaison avec le monde spirituel, et ce qu'ils altèrent sur le plan du comportement : ce qu'est la médiumnité.

LA MÉDIUMNITÉ
Pour nous la médiumnité est une fonction de senso-perception. Comme toute fonction de senso-perception, il faut un organe sensoriel qui capte le message, une aire corticale du cerveau qui l'interprète et des éléments du psychisme qui le jugent.
L'organe sensoriel capte, projette vers l'aire corticale du cerveau et le psychisme, l'esprit ou l'âme et fait un jugement critique de cette situation.

ANATOMIE DU CERVEAU

Pour expliquer cette question, il nous faut étudier un peu l'anatomie du cerveau, que nous pouvons disséquer à partir de quelques images.

Photo 1 : Le cerveau est constitué des méninges (couverture), en dessous on a l'encéphale, et en surface on voit le cortex cérébral.
Nous pouvons distinguer l'aire frontale, occipitale, où les phénomènes visuels sont projetés (à partir des yeux) et les diverses aires du cortex cérébral.

Photo 2 : Si nous observons une coupe médiane du cerveau, nous pouvons observer l'aire corticale et la glande pinéale, qui est qui un organe sensoriel, représentée par un point.

Photo 3 : Si la glande pinéale est observée au travers d'une loupe, on peut constater que la forme varie selon le cerveau, elle est différente d'une personne à l'autre.

* Photo 4 : Les glandes pinéales sont différentes d'une personne à l'autre, dans certains cas elle peut être incrustée, et comme nous le verrons plu tard, ces incrustations sont des cristaux d'apatite,

Photo 5 : Les glandes pinéales peuvent se présenter de façon étrange, avec une d'une forme ovale

Photo 6 : Dans les radiographies, les tomographies (encéphales qui ont été étudiés lors d'autopsies), la glande pinéale apparaît comme un point blanc.

Suite de l'étude du Dr. Sergio Félipé de Oliveira :

http://www.cercle-de-samsara.com/comment-communiquer-avec-les-esprits-cliquez-ici-f21/ama-la-glande-pineale-t878.htm

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